4 .
Le maire, Kouji TANIGUCHI a déclaré procéder à une urbanisation équilibrée du développement et de l’environnement. Il a mis en place une organisation chargée de discuter de l’environnement et chargée de lui transmettre des conseils . Mais, cela n’arrête pas la dégradation de l’environnement dans la ville. Ce dysfonnctionnement est dû au manque de spécialiste de l’écologie dans cette organisation et à la mairie. C’est le maire qui nomme de droit les membres . Cet état de fait révèle le manque d'intérêt du maire pour l'environnement. Son attitude va à l’encontre de notre temps car le monde entier s’affronte pour la protection de l’environnement.

5.
Il est question également que le syndicat de l’aménagement foncier prive les habitants de toute liberté . En  les forcant à abandonner leur maison, leur métier, leur vie paisible, et à accepter l’expropriation,  l’exploitation des leurs propriétés et une participation financière au déficit éventuel. Les faits prouvent la violation des droits fondamentaux de l’homme à la liberté garantie par l’article 12 du chapitre Ш de la Constitution. Ce sont  1,056 familles  qui en sont victime.  Le nombre des personnes n’est pas publié par la municipalité. A supposer qu’une famille soit composée de deux personnes, environ 2,100 habitants, soit 2 ,8% de la population de la ville subissent la violation de leurs droits fondamentaux de l’homme à la liberté.

6 .
Il n’y a aucun cadastre public publié. Il semble que le syndicat soit une institution qui permette aux fonctionnaires de refuser le dialogue avec les habitants : ceux-ci ont fait  organiser un  syndicat des propriétaires de terrains pour faire de l’aménagement foncier. Certains propriétaires approuvent le plan proposé par les fonctionnaires. D'un commun accord, ces propriétaires et les fonctionnaires ont déterminés les terrains communs ainsi que les propriétés privées. Il en découle qu'ils partagent ensemble les profits et les déficits suite à la vente des terrains commun. Le syndicat  est constitué de fonctionnaires fantoches.

7.
Ils s’opposent au dialogue avec les opposants par la discrimination. Le Conseil municipal n'a rien fait pour résoudre le problème de la discrimination faite aux opposants du projet.. Cette discrimination est efficace pour contenir les plaintes des habitants. En effet, celles-ci s'expriment  par des menaces faite aux habitants. Il est évident que conseil minicipal viole  l’article 14 de la chapitre Ш de la Constitution .

8 .
Pourtant, les fonctionnaires ne refusent jamais le dialogue avec des entreprises. Ils ont répondu aux demandes pressantes de l’entreprise qui espèrait ouvrir son supermarché rapidement. Ils ont fait  expulser les habitants qui vivaient sur le terrain déstiné à ce projet de supermarché. Les habitants ont été relogés dans des barraques précaires.

9 .
En ce qui concerne l’aménagement foncier, le gouvernement japonais a publié sa décision de ne plus subventionner de nouveau cas après le 5 août 2007. Car l’aménagement foncier à grande échelle n’est plus opportun au temps de la  décroissance de la population. En période de croissance, la valeur du terrain a augmenté , mais aujourd’hui, les prix étant stable,  le syndicat  risque d’être déficitaire en vendant les terrains moins chérs que prévu.

10 .
Quant à Owariasahi, le maire ne veut pas reconnaitre les faits suivants que l'aménagement foncier donne trop de charge physique, mental, économique et environnemental aux habitants. Il ressort au fond que le maire et les fonctionnaires municipaux ne respectent pas la protection de l’environnement, les droits de l’homme et la démocratie. Il ne s’interessent qu’au développement économique.

11 .
En matière de violation des droits de l’homme, d’après des fonctionnaires, il est inévitable que la minorité soit la victime à l’économie du bien-être de la majorité. Il n’échappe cependant à personne que les fonctionnaires considèrent comme la majorité ceux qui peuvent apporter des profits à l’autorité municipale, aux entreprises et à eux mêmes. L’aménagement foncier est un instrument d’obtenir l’importantes subventions de l’Etat, de la préfecture à la  municipalité par l’intermédiaire du maire et  des députés conservateurs élus dans cette région.  Le montant de la subvention qu’ils ont pris, peut  conditionner leur réelection. Les travaux public subventionne  les entreprises choisies par la municipalités pour paire les marchés publics.
Le budget des travaux de Kitaharayama monte 23.000.000.000de yen, soit 140.404.573 d’euro. Il est subventionné par l’Etat à plus de 90%.

12 .
Owariasahi  fait  partie de la liste des Villes-Santé de l’ OMS. C’est le maire qui a fait cela dans l’intention d'en profiter pour rehausser l’image de marque de la ville  ( a-t-il dit le  17 jan. 2006). De fait, malgré l'interdiction de l’OMS d’utiliser le mot" OMS" pour toute publicité, le mairie affiche en face du bâtiment, une banderole  sur laquelle est écrit «  Owariasahi Ville-Santé de l’OMS » qui pourrait prêter à confusion laissant penser que  l’OMS a constaté que Owariasahi avait déja atteint son but de » Ville-santé ».
Owariasahi doit faire son plan d’urbanisation avec des experts en environnement et en écologi ; de plus, la ville doit chercher de nouveaux moyens pour le bien-être afin de répondre au programme de "VilleSanté" de l'OMS.

　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　 　　　　　　　　　　　　

I) La destruction de la forêt secondaire (le bois du SATOYAMA) 

I-1) Les causes de l'activité économique

Plusieurs causes sont à l’origine de cette destruction :
Celle dû à l’activité économique　：　a)　L’extraction de la boue 
　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　　 b) Celle de la nécessité de trouver des terrains à bâtir

Ce sont les autorités de la préfecture d’Aichi qui ont délivrés les autorisations aux entreprises privées afin que celles-ci puissent à titre préventif, prévenir les éboulements en extrayant la boue et ensuite qu’elles puissent  la vendre.
Il s’agit de 23.000 ㎡ de terrain subissant la destruction écologique, ceci représentant 31.5% de la superficie de la forêt particulière.

I-1- 2)procès des travaux

Lieu N°2 (sur le map)
1-Activité de coupe du bois
2-Transport à l’incinérateur municipal 3-Extraction de la boue afin d’être vendue aux potiers de Seto et à des entreprises de construction (destinée aux remblais)
4-Importation de boue  (origine inconnue) pour remblayer les trous

I-1- 3)conséquences  environnementales  liées  aux  travaux ci-dessus

L’importance de la forêt secondaire est reconnue de manière scientifique car  elle abrite des espèces d’oiseaux sauvages qui ne migrent pas.
Les larves de 10% des papillons Japonais ne mangent que des feuilles de « quercus »  qui ne se trouvent que dans la forêt secondaire.

La perte des forêts secondaires a causé la destruction complète de l’écosystème avec la disparition d’insectes et d’oiseaux.
La boue importée de régions inconnues contient des semences étrangères, nuisibles à l’environnement
Les faits montrent que les travaux ont provoqué une humidification biologique de la terre

La préfecture d’Aichi n’a pris aucun arrêté qui interdisent  d’une part, de transférer la boue d’un lieu vers un autre.Alors qu’il serait souhaitable d’imposer en préalable à tout transport de boue , des analyses chimiques, biologiques tous les trois mois , à l’identique de ce qui se fait déjà dans d’autres préfectures.
La solution serait que la préfecture d’Aichi  subisse des pressions, ainsi celle –ci  accepterait de faire ces tests, car la boue  polluée ou  la boue  mélangée à des déchets industriel  représente un risque pour la santé des populations.


I-2) celle dû à la négligence des employés municipaux  

Au mois d’août 2007, en plein été,  nous avons aperçu dans la forêt secondaire  des arbres dont toutes les feuilles étaient rouges, desséchées et mortes sans pour autant que celles-ci soient tomber de l’arbre.

Afin de comprendre ce qui se passait dans les forêts secondaire , nous avons découvert que les causes de cette catastrophe environnementale étaient similaires à ce que d’autres pays comme le  Canada, la  France etc.subissaient
 C’est le «  platypus quercivorus » appelé encore « la maladie du chêne », ce parasite prolifère rapidement et s’attaque aux « querous Servata »  ou appelé «chêne châtaigner » en les tuant.
La forêt secondaire étant principalement composé de «  querous servata », leurs disparitions entraîneront automatiquement la disparition de la forêt secondaire.
La municipalité a pris les mesures pour lutter contre le « Platypus quercivorus » en coupant et en brûlant les « querous Servatas » malades.
Cependant, les employés municipaux en charge de régler ce problème n’ont en fait que coupaient les arbres infectés en les laissant sur le sol sans les brûler.Ce qui a eu pour conséquence, de laisser ces parasites qui étaient à l’état de larves se développer en devenant volatiles .
Ces parasites sont donc partis à la recherche d’arbres sains afin de pondre leurs œufs
A ce jour, l’extension de ce fléau est généralisée dans la forêt secondaire, celle-ci est en voie d’instinct ion.



Lieu No7 sur le plan